LA MONGOLIE
ET SON CIEL BLEU
Là, devant nous, un tout autre paysage. L’immensité. Le regard se perd. Les pâturages et les yourtes blanches. La nuit tombe. Chercher un bivouac. Ce soir, nous débouchons le champagne. C’est un grand jour pour nous. Emotions. Le voyage nous remue… Se dire que nous sommes en Mongolie, que le voyage ne fait que commencer…
Le jour se lève. Je m’empresse de regarder à travers la vitre. Le bleu du ciel. Oui, c’est bien cela. Impatients de partir, de s’élancer sur les pistes. Poussière. Trous. Bosses. Nous voici partis. Les yeux grands ouverts. Scruter l’horizon et les pistes qui sont nombreuses. Suivre les indications du GPS. Sans lui, ce serait impossible. Ne pas se perdre est l’essentiel ! Les steppes. Les yourtes. Les troupeaux de vaches, de moutons, de chèvres. Les chevaux. Les cavaliers. C’est le tableau de chaque jour. Nous avalons des kilomètres de piste. Les paysages sont plus beaux les uns que les autres. Des vallées immenses où l’on aperçoit des points blancs que sont les Gers ou yourtes et les troupeaux avec les cavaliers. Des cols à passer où nous trouvons les oboo, résidence des esprits. De nombreux tissus bleus, les Khadag, sont accrochés. Nous descendons et ajoutons notre caillou. Chacun peut faire une offrande. Le symbolique fait partie intégrante de cette vie nomade, de la yourte à l’environnement extérieur.
Etre invité à entrer dans la yourte. Dès le premier jour. Nous pénétrons dans cet intérieur feutré, chaleureux. Toute une famille vit ici. Les deux frères, leur mère, leurs femmes et les enfants. Plein de couleurs vives, orange rouge, bleu, vert… Cela va des tissus aux meubles et litsqui sont tous décorés. Puis au centre, le foyer avec le poêle. Le feu, dieu de la vie, est prépondérant. Il est le lien entre les ancêtres et les descendants. Il symbolise le lien entre les générations. Sur le poêle, le lait chauffe. Nous prenons place à l’ouest dans la yourte, juste à côté de l’autel. Là, plein de photos sont posées sur le meuble. Ils nous montrent la photo de l’ancêtre décédé. C’était son père. Nous nous voyons offrir le thé salé qui est servi avec du lait. Les enfants sont là. Puis, ils nous demandent de les prendre en photo. Ils sont tous contents et tous fiers. Les enfants se prêtent au jeu. Nous prenons leur adresse. Puis, il faut se quitter. Continuer notre chemin sous la chaleur. Rencontrer des cavaliers et leurs troupeaux. Demander notre route quand le doute subsiste. Direction plein est. Le lac Khövsgöl.
Le jour se lève. Je m’empresse de regarder à travers la vitre. Le bleu du ciel. Oui, c’est bien cela. Impatients de partir, de s’élancer sur les pistes. Poussière. Trous. Bosses. Nous voici partis. Les yeux grands ouverts. Scruter l’horizon et les pistes qui sont nombreuses. Suivre les indications du GPS. Sans lui, ce serait impossible. Ne pas se perdre est l’essentiel ! Les steppes. Les yourtes. Les troupeaux de vaches, de moutons, de chèvres. Les chevaux. Les cavaliers. C’est le tableau de chaque jour. Nous avalons des kilomètres de piste. Les paysages sont plus beaux les uns que les autres. Des vallées immenses où l’on aperçoit des points blancs que sont les Gers ou yourtes et les troupeaux avec les cavaliers. Des cols à passer où nous trouvons les oboo, résidence des esprits. De nombreux tissus bleus, les Khadag, sont accrochés. Nous descendons et ajoutons notre caillou. Chacun peut faire une offrande. Le symbolique fait partie intégrante de cette vie nomade, de la yourte à l’environnement extérieur.
Etre invité à entrer dans la yourte. Dès le premier jour. Nous pénétrons dans cet intérieur feutré, chaleureux. Toute une famille vit ici. Les deux frères, leur mère, leurs femmes et les enfants. Plein de couleurs vives, orange rouge, bleu, vert… Cela va des tissus aux meubles et litsqui sont tous décorés. Puis au centre, le foyer avec le poêle. Le feu, dieu de la vie, est prépondérant. Il est le lien entre les ancêtres et les descendants. Il symbolise le lien entre les générations. Sur le poêle, le lait chauffe. Nous prenons place à l’ouest dans la yourte, juste à côté de l’autel. Là, plein de photos sont posées sur le meuble. Ils nous montrent la photo de l’ancêtre décédé. C’était son père. Nous nous voyons offrir le thé salé qui est servi avec du lait. Les enfants sont là. Puis, ils nous demandent de les prendre en photo. Ils sont tous contents et tous fiers. Les enfants se prêtent au jeu. Nous prenons leur adresse. Puis, il faut se quitter. Continuer notre chemin sous la chaleur. Rencontrer des cavaliers et leurs troupeaux. Demander notre route quand le doute subsiste. Direction plein est. Le lac Khövsgöl.
6 commentaires:
Ca y est.... Vous y etes... C'est maintenant que celà commence... Profitez en, laissez vous porter..
Ben voilà .... bravo ! Il fallait le faire. Merci pour tous ces textes et photos ...
Richard
ben c'aura pas toujours été facile mais le chemin du bonheur est souvent semé d'embuches comme disait je sais plus qui. on vous fait confiance pour prendre plein de photos, essayez de capturer un petit bout de ciel dans une boite comme ca on pourra le voir aussi le ciel bleu de mongonlie. bisous a tous les deux et bonne route,
P.S. si vous trouvez le tresor de gengis khan, je veux bien son épée en souvenir.
CYRIL
on continue à vous suivre depuis lyon. ça fait envie ! profitez, profitez (ici c'est pas encore l'été, vous avez bien fait d'aller chercher du ciel bleu en mongolie ;o)
bises
claire et olive
Vous touchez le ciel, j'en suis sûre. Bienvenue en Mongolie, je suis aussi heureuse que vous, pour vous.
que vous ni perviendrez pas en Mongolie !
Je suis content pour vous
amusez vous bien !
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